carnet de campagne
| samedi 23 février 2008 10:10 par JPJ | Metz |
le petit conservatoire de Jean-Marie.
Comme Mireille dans le temps, sur nos télés en noir et blanc, donnait leur chance aux jeunes artistes dans son petit conservatoire de la chanson, Jean-Marie Rausch cette année a choisi de lancer en meeting quelques-uns de ses nouveaux coéquipiers. Pas seulement pour préserver ses forces car depuis une petite semaine, il semble aller mieux. Non. Tout simplement pour voir, entendre et jauger.
A ce petit jeu là et devant près de 300 personnes au Sablon (dont une bonne moitié de spectateurs non directement impliqués dans les sphères municipales), il a laissé Noël Jouaville Jérémy Aldrin, Fabrice Genter, Anne Stémart et Philippe Grégoire affronter les feux de la rampe. Jouaville l'a fait en force, avec l'assurance du technicien ravi de jouer dans la cour politique. Il a aligné les chiffres comme autant de généraux d'une armée mobilisée pour que cela continue. Jérémy Aldrin, fraîche pousse politique et président des jeunes UMP a déroulé, avec un savoir parler politique de vieux briscard, quelques considérations assez générales sur les étudiants et l'animation. Philippe Grégoire a raccroché les vélos au plan de déplacements urbains regrettant avec constance que la presse locale n'ait pas mis plus en évidence les efforts réalisés pour les deux-roues à Metz. Efforts considérables qui lui font " souhaiter que le prochain maire de Metz aime aussi peu le vélo que l'actuel et permette de poursuivre dans cette direction ". Fabrice Genter, patron d'un organisme immobilier et vice-président de la CCI sera le plus habile à reprendre la ligne JMR tout en l'enrichissant de sa propre crédibilité et même d'une petite pointe d'humour. Pas trop quand même... Faut pas abuser. Un bon point que JMR lui reconnaîtra dès le lendemain lors d'une conférence de presse. Anne Stémart, au coeur de ce qu'elle souhaite être bientôt son canton d'élection et en parlant du tourisme, démontrera qu'on peut n'avoir pas grand-chose à dire et l'affirmer néanmoins avec assurance. Pas de quoi désespérer pour autant... Le petit monde de la chanson aussi est rempli d'artistes qui ont rempli leur besace chemin faisant.
réunion
Le vendredi c'était au tour de Jean-Jacques Aillagon, l'ex-ministre de la Culture et président de Pompidou, d'être en vedette américaine de la réunion suivante. " Je n'en ferai rien si vous y êtes " avait-il dit à Jean-Marie Rausch au moment où sa candidature à la mairie avait été envisagée. Le fait d'être aujourd'hui à la tête de Versailles ne lui a rien enlevé de sa civilité.
Comme Mireille dans le temps, sur nos télés en noir et blanc, donnait leur chance aux jeunes artistes dans son petit conservatoire de la chanson, Jean-Marie Rausch cette année a choisi de lancer en meeting quelques-uns de ses nouveaux coéquipiers. Pas seulement pour préserver ses forces car depuis une petite semaine, il semble aller mieux. Non. Tout simplement pour voir, entendre et jauger.
A ce petit jeu là et devant près de 300 personnes au Sablon (dont une bonne moitié de spectateurs non directement impliqués dans les sphères municipales), il a laissé Noël Jouaville Jérémy Aldrin, Fabrice Genter, Anne Stémart et Philippe Grégoire affronter les feux de la rampe. Jouaville l'a fait en force, avec l'assurance du technicien ravi de jouer dans la cour politique. Il a aligné les chiffres comme autant de généraux d'une armée mobilisée pour que cela continue. Jérémy Aldrin, fraîche pousse politique et président des jeunes UMP a déroulé, avec un savoir parler politique de vieux briscard, quelques considérations assez générales sur les étudiants et l'animation. Philippe Grégoire a raccroché les vélos au plan de déplacements urbains regrettant avec constance que la presse locale n'ait pas mis plus en évidence les efforts réalisés pour les deux-roues à Metz. Efforts considérables qui lui font " souhaiter que le prochain maire de Metz aime aussi peu le vélo que l'actuel et permette de poursuivre dans cette direction ". Fabrice Genter, patron d'un organisme immobilier et vice-président de la CCI sera le plus habile à reprendre la ligne JMR tout en l'enrichissant de sa propre crédibilité et même d'une petite pointe d'humour. Pas trop quand même... Faut pas abuser. Un bon point que JMR lui reconnaîtra dès le lendemain lors d'une conférence de presse. Anne Stémart, au coeur de ce qu'elle souhaite être bientôt son canton d'élection et en parlant du tourisme, démontrera qu'on peut n'avoir pas grand-chose à dire et l'affirmer néanmoins avec assurance. Pas de quoi désespérer pour autant... Le petit monde de la chanson aussi est rempli d'artistes qui ont rempli leur besace chemin faisant.
réunion
Le vendredi c'était au tour de Jean-Jacques Aillagon, l'ex-ministre de la Culture et président de Pompidou, d'être en vedette américaine de la réunion suivante. " Je n'en ferai rien si vous y êtes " avait-il dit à Jean-Marie Rausch au moment où sa candidature à la mairie avait été envisagée. Le fait d'être aujourd'hui à la tête de Versailles ne lui a rien enlevé de sa civilité.
