Jeudi : les infos du jour
vendredi 14 mars 2008 18:00 par JPJ | Metz |
Marie Jo Zimmermann :
cela ne me dérangerait pas un jour de laisser ma place de maire à Nathalie Griesbeck.
Trois conférences de presse quasi simultanées jeudi matin... le parcours du combattant journalistique...
A 11 h 00 Jean Marie Rausch , entouré des jeunes de son équipe ( ils seraient à l’initiative de cette réunion et ils sont tellement bons dixit JMR qu’ils auraient tous pu être tête de liste) rappelle qu’il est le seul à pouvoir valablement conduire les projets pour l’avenir de Metz. « Un autre maire quel qu’il soit dépensera de façon moins raisonnable car il sera obsédé par sa réélection ». CQFD
Et ses coéquipiers chacun avec ses arguments confirmeront l’analyse. « On a la meilleure liste, on a le seul vrai projet » dira Aline Hombourger ex PS. Jeremy Aldrin le patron des jeunes UMP de la Moselle dira de même.
Sur la table, un tract plutôt violent contre le « trio infernal » Zimmermann, Griesbeck, Lebeau et dans l’air les échos de « l’affaire du préfet ». Un rendez-vous de la dernière chance pour une fusion de listes entre JMR et le trio qui a capoté mais fait des vagues. Les explications de JMR sont plus prudentes que celles de la veille mais le mal est fait...
Une info encore : c’est parce qu’il est chiraquien que Dominique Gros constitue en danger pour la ville. JMR estime en effet que « c’est la dérive qui consiste à ne rien décider, à laisser le social passer avant l’économique qui est à l’origine des maux de la France ». Des caractéristiques souvent attribuées à la gauche ? Oui mais aussi à Jacques Chirac et c’est sur lui que JMR a concentré ses attaques lorsqu’il a voulu démontrer à quel point le programme du candidat socialiste serait néfaste.
A 11h 00 toujours au Place caffé : rassemblement, à l’initiative de la liste Gros des déçus de la fusion à droite. Pas forcément très malin... Heureusement pour eux, un sujet de diversion était trouvé : l’affaire de la préfecture. " Des relents de second empire " dira Dominique Gros.
A 12 h 00 à la permanence de Nathalie Griesbeck : les trois « unis ». Et on reparle de la pref... des coups de fils acceptés ou refusés... de « l’affolement dans le camp d’en face », des pressions subies par les membres des listes de la part « du président de l’université de Metz » pour exprimer leur mécontentement .
Nous sommes la véritable nouveauté, le véritable fait politique de cette élection diront en chœur MJ Zimmermann, N. Griesbeck et E. Lebeau. « notre alliance gêne tout le monde ». les journalistes apprendront avec intérêt que :
cela ne me dérangerait pas un jour de laisser ma place de maire à Nathalie Griesbeck.
Trois conférences de presse quasi simultanées jeudi matin... le parcours du combattant journalistique...
A 11 h 00 Jean Marie Rausch , entouré des jeunes de son équipe ( ils seraient à l’initiative de cette réunion et ils sont tellement bons dixit JMR qu’ils auraient tous pu être tête de liste) rappelle qu’il est le seul à pouvoir valablement conduire les projets pour l’avenir de Metz. « Un autre maire quel qu’il soit dépensera de façon moins raisonnable car il sera obsédé par sa réélection ». CQFD
Et ses coéquipiers chacun avec ses arguments confirmeront l’analyse. « On a la meilleure liste, on a le seul vrai projet » dira Aline Hombourger ex PS. Jeremy Aldrin le patron des jeunes UMP de la Moselle dira de même.
Sur la table, un tract plutôt violent contre le « trio infernal » Zimmermann, Griesbeck, Lebeau et dans l’air les échos de « l’affaire du préfet ». Un rendez-vous de la dernière chance pour une fusion de listes entre JMR et le trio qui a capoté mais fait des vagues. Les explications de JMR sont plus prudentes que celles de la veille mais le mal est fait...
Une info encore : c’est parce qu’il est chiraquien que Dominique Gros constitue en danger pour la ville. JMR estime en effet que « c’est la dérive qui consiste à ne rien décider, à laisser le social passer avant l’économique qui est à l’origine des maux de la France ». Des caractéristiques souvent attribuées à la gauche ? Oui mais aussi à Jacques Chirac et c’est sur lui que JMR a concentré ses attaques lorsqu’il a voulu démontrer à quel point le programme du candidat socialiste serait néfaste.
A 11h 00 toujours au Place caffé : rassemblement, à l’initiative de la liste Gros des déçus de la fusion à droite. Pas forcément très malin... Heureusement pour eux, un sujet de diversion était trouvé : l’affaire de la préfecture. " Des relents de second empire " dira Dominique Gros.
A 12 h 00 à la permanence de Nathalie Griesbeck : les trois « unis ». Et on reparle de la pref... des coups de fils acceptés ou refusés... de « l’affolement dans le camp d’en face », des pressions subies par les membres des listes de la part « du président de l’université de Metz » pour exprimer leur mécontentement .
Nous sommes la véritable nouveauté, le véritable fait politique de cette élection diront en chœur MJ Zimmermann, N. Griesbeck et E. Lebeau. « notre alliance gêne tout le monde ». les journalistes apprendront avec intérêt que :
- Marie
Jo Zimmermann a « découvert les qualités de Nathalie, notamment son
travail et son sens du terrain » lors de ces derniers jours
- Nathalie a découvert que Marie Jo était indépendante de Jean
Louis Masson
- Marie Jo Zimmermann imagine bien céder un jour son poste de maire, si elle était élue à Nathalie Griesbeck : « eh oui, les femmes sont comme ça. Il n’y a pas que la politique dans la vie. J’ai d’autres projets aussi ».