J - 499

mardi 17 octobre 2006

Jean-Marie Rausch

Municipales à Metz
La grande revue des hypothèses…
en attendant les projets !

Elles auront lieu dans 499 jours au plus tard, c'est-à-dire au milieu du mois de mars 2008. Mais peut-être aussi dès l'automne 2007, c'est-à-dire dans moins de 360 jours . Autant dire que les élections municipales sont dans bien des têtes, dans tous les chantiers et même dans certaines réflexions.
Voilà pourquoi  la Semaine Numérique vous propose de faire le tour des hommes et des femmes qui pourraient être candidats, de leurs projets en cours d'élaboration. Elle vous invite aussi et surtout à y apporter vos commentaires.
Pour "amorcer " ce débat, un autre visage appartenant au paysage des probables et des possibles.

Il dit clairement qu’il sera candidat à sa propre succession s’il va bien et si les Messins le souhaitent. Il met en route plein de choses sur sa ville, de Pompidou à Saint-Louis, de la République à Mercy, mais il vieillit. Ce n’est pas une insulte que de le dire. Même s’il se ménage des plages de récupération, s’occupe de loins de choses à la fois, remplace une dose de colère par une pincée de philosophie le temps fait son œuvre. L’accélération de son programme peut vouloir dire qu’il est reparti comme en 14… Mais peut aussi signifier le contraire ! Il a l’avantage de rester libre de son choix, ce qui n’aurait pas été le cas s’il avait annoncé qu’il se retire. Simplement, avec le temps qui passe; il risque de se rendre un peu plus otage de lui-même car on ne lui pardonnerait pas une imprévoyance ou un bricolage.


Avec le maire de Pau, André Labarrère décédé il y a quelques mois Jean Marie Rausch était le plus ancien en date des maires des grandes villes de France. S'il se décidait à se représenter en 2008 il franchirait presque simultanément l'année suivante le cap de ses 80 ans et de la 40ème année à la tête de la ville.
Les réalisations en cours ( Pompidou notamment et l'Amphithéâtre) de même que l'absence d'un dauphin déclaré l'incitent à se présenter à nouveau...et il le déclare avec délectation.
mandat de trop ou logique de pouvoir assumée jusqu'au bout?
est-il responsable du vide qu'il dénonce autour de lui en matière d'hommes, de projets et d'idées?
s'il fallait faire aujourd'hui le bilan de JMR, quel serait-il?

  1. gerbert écrit: (29/10/2006 17:24:59 GMT)
    J - 499

    jaloux !

  2. Nathalie Collot écrit: (23/10/2006 09:44:46 GMT)
    J - 499

    Vivement qu'on en finisse avec la gérontocratie !

    La capacité à passé le flambeau est une preuve de réussite politique.

  3. Emmanuel Lebeau écrit: (22/10/2006 18:02:59 GMT)
    J - 499

    Qu'il est triste que de se croire irremplacable et de le faire croire.

    Qu'il est triste de voir toute une équipe de notables s'accrochée au maire comme le pendu à sa corde

    Qu'il est triste cet indigeste mélange des "genres" qui aboutit à poser la question d'un septième mandat à 80 ans...

    Les messinnes et les messins ont besoin de croire qu’ils peuvent encore reveiller leur ville. Ils ont besoin d’imaginer que tout est possible même sans JMR car il n'est pas éternel.

    Je pense qu'ils rejetteront cette même classe politique messine présente avec Rausch depuis toujours.

    Les messines et les messins condamneront une politique qui prétendra construire le monde de demain avec les hommes et les idées d’hier.

    Je souhaite une politique qui rende possible le changement. Je veux tourner le dos à ses hommes politiques qui explique que sans eux tout est impossible, rien est possible.

    Aujourd'hui, ce qui est nécessaire à Metz, c'est le changement.

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