Jean-Marie Rausch
lundi 11 février 2008C'est ma méthode !
Cravate verte assortie à la dominante du décor et des documents. Normal, ils sont de campagne eux aussi ! Jean-Marie Rausch avait quitté lundi sa mairie pour lancer depuis sa permanence la présentation des étapes de son programme et de son projet.
En costume beige à rayures (et en congé depuis le vendredi précédent à zéro heure), Noël Jouaville son ancien directeur des services en partance pour la CA2M puis pour l'association de préfiguration du Centre Pompidou, était à ses côtés ou presque. A deux mètres et sur un tabouret, prêt à compléter comme au temps où il était DG. En tous cas il sera sur la liste, c'est officiel. A un rang à déterminer.
Pas loin manifestement car " Jouaville a le sang-froid " qu'il faut dira Rausch. " Et en plus il connaît tout ".
Gagner avant de dépenser
" On ne peut dépenser que ce que l'on a... Il faut donc se débrouiller pour gagner ce dont on a besoin sans pour autant écraser les gens avec des impôts ". Voici, à peine résumée, la philosophie d'action que Jean-Marie Rausch a rappelée en préambule de son ouverture de campagne.
La septième. " Depuis que je suis arrivé à la mairie, j'ai toujours cherché à faire gagner à la ville l'argent dont elle avait besoin pour son développement. C'est ce qui nous a permis de durer. Et si Capital nous classe aujourd'hui premiers en France pour la modicité du poids de la dette, aux premier et deuxième rangs pour celle des impôts, c'est que nous avons plutôt bien réussi ".
Jean-Marie Rausch a annoncé une campagne rythmée par trois grandes réunions thématiques, dont l'une dès ce mercredi 6 février. Y figurent aussi une douzaine de réunions de quartier. Le double point d'orgue devrait en être la présentation de la liste le 21 février au palais des Congrès et une soirée sur le développement durable le 14 mars, c'est-à-dire entre les deux tours, au palais des sports. Et pour faire bon poids, le maire de Metz s'est lancé dès lundi dans l'énumération des mesures de santé, de solidarité, d'éducation qu'il compte développer dans un premier temps. Manifestement pas son truc, ces lectures de rapports préparés et de programmes ficelés.
Mais il faut bien y passer .... Un arrêt quand même sur le passeport senior et le péri-scolaire. Sur le dialogue soudain érigé en principe avec les jeunes dans les quartiers. " Question de moyens aujourd'hui disponibles " dit-il. Question d'absence de volonté auparavant et depuis toutes ces années ? " Non, j'en avais le désir mais pas la volonté. Celle-ci peut amener parfois à aller plus loin que ce que l'on veut, trop loin. Moi je n'ai jamais enfreint mes règles ". Des emprunts aux programmes des autres, une politique qui semble être de gauche ? " Chaque maire veut faire du social et nous avons déjà fait beaucoup de choses. C'est comparable à beaucoup de villes de gauche mais nous, nos finances sont bonnes ".

Cravate verte assortie à la dominante du décor et des documents. Normal, ils sont de campagne eux aussi ! Jean-Marie Rausch avait quitté lundi sa mairie pour lancer depuis sa permanence la présentation des étapes de son programme et de son projet.
En costume beige à rayures (et en congé depuis le vendredi précédent à zéro heure), Noël Jouaville son ancien directeur des services en partance pour la CA2M puis pour l'association de préfiguration du Centre Pompidou, était à ses côtés ou presque. A deux mètres et sur un tabouret, prêt à compléter comme au temps où il était DG. En tous cas il sera sur la liste, c'est officiel. A un rang à déterminer.
Pas loin manifestement car " Jouaville a le sang-froid " qu'il faut dira Rausch. " Et en plus il connaît tout ".
Gagner avant de dépenser
" On ne peut dépenser que ce que l'on a... Il faut donc se débrouiller pour gagner ce dont on a besoin sans pour autant écraser les gens avec des impôts ". Voici, à peine résumée, la philosophie d'action que Jean-Marie Rausch a rappelée en préambule de son ouverture de campagne.
La septième. " Depuis que je suis arrivé à la mairie, j'ai toujours cherché à faire gagner à la ville l'argent dont elle avait besoin pour son développement. C'est ce qui nous a permis de durer. Et si Capital nous classe aujourd'hui premiers en France pour la modicité du poids de la dette, aux premier et deuxième rangs pour celle des impôts, c'est que nous avons plutôt bien réussi ".
Jean-Marie Rausch a annoncé une campagne rythmée par trois grandes réunions thématiques, dont l'une dès ce mercredi 6 février. Y figurent aussi une douzaine de réunions de quartier. Le double point d'orgue devrait en être la présentation de la liste le 21 février au palais des Congrès et une soirée sur le développement durable le 14 mars, c'est-à-dire entre les deux tours, au palais des sports. Et pour faire bon poids, le maire de Metz s'est lancé dès lundi dans l'énumération des mesures de santé, de solidarité, d'éducation qu'il compte développer dans un premier temps. Manifestement pas son truc, ces lectures de rapports préparés et de programmes ficelés.
Mais il faut bien y passer .... Un arrêt quand même sur le passeport senior et le péri-scolaire. Sur le dialogue soudain érigé en principe avec les jeunes dans les quartiers. " Question de moyens aujourd'hui disponibles " dit-il. Question d'absence de volonté auparavant et depuis toutes ces années ? " Non, j'en avais le désir mais pas la volonté. Celle-ci peut amener parfois à aller plus loin que ce que l'on veut, trop loin. Moi je n'ai jamais enfreint mes règles ". Des emprunts aux programmes des autres, une politique qui semble être de gauche ? " Chaque maire veut faire du social et nous avons déjà fait beaucoup de choses. C'est comparable à beaucoup de villes de gauche mais nous, nos finances sont bonnes ".
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