VélOstan’lib
vendredi 26 septembre 2008petit frère du Vélib' parisien.
La communauté urbaine du Grand Nancy (CUGN, 260.000 habitants) lance samedi un système de location de vélos en libre-service baptisé "VélOstan'lib", inspiré du Vélib' qui connaît un large succès à Paris.
Au total, 250 vélos, semblables à ceux en service dans la capitale, seront disponibles sept jours sur sept et 24 heures sur 24 dans 25 stations installées à proximité de la gare et des stations de bus et de tramway pour encourager les Nancéens à utiliser, "avec souplesse, les moyens de transports alternatifs à la voiture", a-t-on expliqué à la CUGN.
Ces stations, disposant de 560 points d'accroche, ont été équipées d'une borne d'accueil et d'abonnement disposant d'un lecteur de carte bancaire où les usagers pourront prendre un abonnement courte durée, valable de un à sept jours.
La première demi-heure d'utilisation sera gratuite tandis que la demi-heure supplémentaire sera facturée un euro. Un abonnement annuel sera également disponible pour 15 euros (cinq euros pour les étudiants).
Le maillage des stations a été étudié pour assurer suffisamment de places pour rendre le vélo, le nombre de points d'accroche variant selon la fréquentation du lieu. Elles ont été installées en priorité dans les endroits où la fréquentation est élevée, comme la gare de Nancy ou la place Stanislas.
Ces VélOstan'lib, qui complètent une offre déjà existante de location longue durée, sont destinés plus aux Nancéens qu'aux touristes. Le but est de leur faire prendre le vélo pour aller travailler, a encore expliqué la CUGN.
A Paris, le Vélib' a fêté en juillet sa première année d'existence, fort d'un succès populaire mais aussi économique pour la mairie de Paris avec près de 27,5 millions de locations enregistrées en un an.
Les quelques 16.000 vélos gris en circulation dans la capitale font aujourd'hui partie du paysage et chaque jour on compte en moyenne de 110.000 à 120.000 locations, selon la société JCDecaux, prestataire comme à Nancy du système de location.
La communauté urbaine du Grand Nancy (CUGN, 260.000 habitants) lance samedi un système de location de vélos en libre-service baptisé "VélOstan'lib", inspiré du Vélib' qui connaît un large succès à Paris.
Au total, 250 vélos, semblables à ceux en service dans la capitale, seront disponibles sept jours sur sept et 24 heures sur 24 dans 25 stations installées à proximité de la gare et des stations de bus et de tramway pour encourager les Nancéens à utiliser, "avec souplesse, les moyens de transports alternatifs à la voiture", a-t-on expliqué à la CUGN.
Ces stations, disposant de 560 points d'accroche, ont été équipées d'une borne d'accueil et d'abonnement disposant d'un lecteur de carte bancaire où les usagers pourront prendre un abonnement courte durée, valable de un à sept jours.
La première demi-heure d'utilisation sera gratuite tandis que la demi-heure supplémentaire sera facturée un euro. Un abonnement annuel sera également disponible pour 15 euros (cinq euros pour les étudiants).
Le maillage des stations a été étudié pour assurer suffisamment de places pour rendre le vélo, le nombre de points d'accroche variant selon la fréquentation du lieu. Elles ont été installées en priorité dans les endroits où la fréquentation est élevée, comme la gare de Nancy ou la place Stanislas.
Ces VélOstan'lib, qui complètent une offre déjà existante de location longue durée, sont destinés plus aux Nancéens qu'aux touristes. Le but est de leur faire prendre le vélo pour aller travailler, a encore expliqué la CUGN.
A Paris, le Vélib' a fêté en juillet sa première année d'existence, fort d'un succès populaire mais aussi économique pour la mairie de Paris avec près de 27,5 millions de locations enregistrées en un an.
Les quelques 16.000 vélos gris en circulation dans la capitale font aujourd'hui partie du paysage et chaque jour on compte en moyenne de 110.000 à 120.000 locations, selon la société JCDecaux, prestataire comme à Nancy du système de location.
Pardon de vous interompre bande de silloneurs lorrains nombrilistes (même si, comme d'habitude on voit bien d'où vient la provocation) mais à vélo ou à pied c'est comme ici à luxembourg ou l'on a déja le concept identique, on est toujours sous la pluie alors je vois pas l'interet à part la frime quand il fais beau ! Ca m'étonnerait que ça marche longtemps (passé l'effet mode) ces histoires de vélo... n'en déplaise aux parfait petits nancéiens si fiers de leurs Stan et de leurs étudiants. Quand les vrais projets arriveront et demanderont des investissements c'est à mon avis à Metz que ça sera possible...
On s' en fou de tes bicyclette Martine. Je roule en voiture et je préfere.
Nancy a toujours une longueur d'avance sur Metz !!!!!!