élections au PS
mercredi 15 novembre 2006Pierre
Bertinotti ( Fabiusien à Metz) :
" les militants ont pris le pouvoir"
Fabiusien
convaincu mais aussi démocrate viscéral Pierre Bertinotti, patron
de la section de Metz 4 du PS et conseiller municipal de la ville était
plutôt serein mardi soir.
Non pas qu'il ait été convaincu que le chemin du triomphe s'ouvre pour son favori mais parce que " cette phase de débat a fait grandir le PS. En nombre d'adhérents mais aussi en capacité à échanger. J'ai été frappé disait-il, lors de mes visites dans les sections messines d'avoir vu des militants ayant une vraie réflexion personnelle, s'écoutant les uns les autres, prenant ce vote au sérieux comme si c'était celui du 22 avril prochain. A l'heure où l'UMP s'embourbe dans ses rivalités j'ai l'impression que nous sortons bien de notre procédure. L'unité devrait se faire rapidement autour du premier car la base veut gagner ".
Le face à face
A Metz ce sont 500 personnes qui sont appelées à voter ce jeudi. Pour Pierre Bertinotti cette procédure qui se termine dans de bonnes conditions traduit un fait majeur : la prise du pouvoir par les militants. " L'appareil aujourd'hui est limité à l'organisation. Aucun des trois candidats n'est d'ailleurs à proprement parler un homme d'appareil. Ce sont les militants qui décident et le savent. Quelle que soit l'élection demain ils demanderont à exercer ce pouvoir ".
Y a-t-il eu une sensibilisation de dernière minute, une piqûre de rappel ? " Une seule, celle d'aller voter et de le faire en âme et conscience. J'ai affiché mon choix. Chacun reste libre du sien. Le face à face entre les candidats et l'électeur qui caractérise la présidentielle a déjà commencé ".
" les militants ont pris le pouvoir"
Fabiusien
convaincu mais aussi démocrate viscéral Pierre Bertinotti, patron
de la section de Metz 4 du PS et conseiller municipal de la ville était
plutôt serein mardi soir. Non pas qu'il ait été convaincu que le chemin du triomphe s'ouvre pour son favori mais parce que " cette phase de débat a fait grandir le PS. En nombre d'adhérents mais aussi en capacité à échanger. J'ai été frappé disait-il, lors de mes visites dans les sections messines d'avoir vu des militants ayant une vraie réflexion personnelle, s'écoutant les uns les autres, prenant ce vote au sérieux comme si c'était celui du 22 avril prochain. A l'heure où l'UMP s'embourbe dans ses rivalités j'ai l'impression que nous sortons bien de notre procédure. L'unité devrait se faire rapidement autour du premier car la base veut gagner ".
Le face à face
A Metz ce sont 500 personnes qui sont appelées à voter ce jeudi. Pour Pierre Bertinotti cette procédure qui se termine dans de bonnes conditions traduit un fait majeur : la prise du pouvoir par les militants. " L'appareil aujourd'hui est limité à l'organisation. Aucun des trois candidats n'est d'ailleurs à proprement parler un homme d'appareil. Ce sont les militants qui décident et le savent. Quelle que soit l'élection demain ils demanderont à exercer ce pouvoir ".
Y a-t-il eu une sensibilisation de dernière minute, une piqûre de rappel ? " Une seule, celle d'aller voter et de le faire en âme et conscience. J'ai affiché mon choix. Chacun reste libre du sien. Le face à face entre les candidats et l'électeur qui caractérise la présidentielle a déjà commencé ".
z'étaient où Lebras Berti et Gros hier ? Pas allé voir Julliard à l'université. Ont perdu une occasion de rencontrer la jeunesse ... s'en foutent non ? Bravo à Jager pour ses questions pertinentes
parce que c'était de l'humour?
y a pas que Gros qui ait perdu à Metz, même chez les fabiusiens, il arrive qu'on perde mais si c'est pour mieux gagner ensuite!! (voir les dernières cantonales)
Ou là là pas d'humour les émules de fabius, ça nous promet ! Au passage vous parlez de Dominique Gros ?
et les sections qui ont fait 95 ou 100% pour Ségo, celles là elles ont le droit de ne pas être considérées comme des clones ou des débiles complétement manipulés?
que ceux qui veulent que les autres se "retirent" nous fassent savoir quel est leur projet pour Metz plutôt que de s'en prendre à des personnes; c'est tellement facile sinon
et puis si tous ceux qui avaient été "en echec " à des élections devaient se retirer il ne resterait plus grand monde tant sur le plan local que national ; Ségolène Royal a perdu les municipales à Niort et tant d'autres (que je ne citrrai pas par charité ) se sont plantés à Metz ou en Lorraine!!
Mme Royal fait la une des journ
eaux.Et pendant ce temps à Nairobi.........
Espérons que les dignes héritiers de Guesdes et leurs représentants naturels, Bertinoti et ses soi disant jeunes amis ( clones de Berti...) sauront tirer les leçons de leur echec en se retirant de la vie poliique...
et alors Berti il est comment aujourd'hui après le score de Fabius sur la Moselle ? Certes il a réussi un score soviétique qui interroge sur le monolothisme de sa section... encore qu'il y a sans doute trop de Ségolènistes dans celle-ci ? Mais 64 voix sur 100 : c'est une section de clones ? C'est vrai que le taux de participation fut faible donc : "il ne sert pas de faire des cartes encore faut-il que ces encartés viennent voter !" On verra tout ça aux municipales celui qui sort aujourd'hui leader naturel du PS à Metz comme le dit Matthieu Klein : JP Masseret.
c'est le cas Thomas :-))
Et les Strauss-Kahnien et Royalistes ! Ils se sentent laissés pour compte !
Dominique Gros soutenant DSK, espérons que Sebastien Koenig ait choisi Ségolène, ainsi les trois sections messines seraient équilibrées !
A bientôt,
Thomas
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