les Echos politiques de La Semaine
samedi 16 février 2008 10:10 par la Semaine Numérique | Metz |
Cela se peut...
Appellerez-vous Paris ou l'Elysée si Marie-Jo Zimmermann arrivait derrière vous aux élections et qu'elle refuse de fusionner ? " ça se peut " répond Jean-Marie Rausch. " Vous pouvez me refaire ça pour mon blog " lui dit un des journalistes placés en face de lui. Et il s'exécute... Dictature de l'image et de l'instantané. L'occasion aussi de préciser qu'il " ferait téléphoner "
10 000 portes
Le contact direct, il n'y a que ça de vrai ! Dominique Gros est un adepte de la rencontre avec les Messins et il encourage ses équipiers, surtout les plus jeunes parfois moins aguerris à ce genre de démarchage au porte-à-porte, à ne surtout pas s'arrêter. " On a déjà fait 10 000 portes à Metz sur les 40 000 appartements ou maisons de la ville. Il faut continuer et expliquer. " Tant qu'il ne leur demande pas d'y aller aussi en vélo !
Pas d'heure pour les braves
C'est à 9 h 30 qu'Anne Stémart a invité les habitants du quartier à une réunion publique " qu'elle donnait " au café des Amis à Magny... En présence de Jean-Marie Rausch. Sûr qu'un mardi à cette heure-là tout le monde n'a pas dû pouvoir se libérer... N'empêche qu'il y avait du monde quand même pour découvrir celle qui a été intronisée à ce moment là numéro deux de la liste JMR. Cela valait bien la peine de se déplacer.
Griesbeck : quatre fois la fête
Ce n'est pas une ou deux idées de fêtes et d'animation que Nathalie Griesbeck a sorti de son chapeau (ou de son programme) mais quatre : un grand rendez-vous annuel inter-générationnel (type Saint Nicolas ou Mirabelle sans doute), une fête des arts vivants (sur les places et dans les rues), une opération estivale Metz Plage sur les bords du plan d'eau et enfin un grand festival annuel d'envergure comme les folles journées de Nantes.
19 h 00, Metz s'endort
Parodiant Dutronc et son Paris s'éveille , Nathalie Griesbeck regrette qu'à 19 h Metz s'endorme. La faute au " manque de transports, de vie étudiante, de politique culturelle "… Ne lui reste plus qu'à trouver un " monsieur Boum boum " pour animer tout ça et rendre hommage en même temps à Henri Salvador qui vient de nous quitter.
Berti le retour
Difficile, en entrant dans la salle archi pleine du " coup d'œil " à Metz les Bordes où Pierre Bertinotti tenait une conférence de presse l'autre jour, d'imaginer qu'on était " seulement " à un rendez-vous de lancement de cantonales. Arguments taillés au millimètre, projet global et particulier pour chacun des quartiers, document de campagne de haut vol...tout faisait penser à une étape supplémentaire d'un processus de conquête de la mairie qui s'était interrompu il y a quelques mois lors des primaires du PS. Aline Hombourger sa suppléante était à ses côtés.
Un double clin d'œil
En présentant lundi les différents aspects de son programme pour l'économie et le commerce messins, Jean-Marie Rausch a parlé de l'extension du marché couvert, des places, de la politique des quartiers mais aussi du FISAC qui serait poursuivi. Un dispositif qui permet de faire financer l'innovation commerciale en centre-ville par l'Etat et les collectivités à partir des produits d'une taxe sur les implantations périphériques. En guise de clin d'œil JMR a fait remarquer que ce dispositif a été créé alors qu'il était ministre du Commerce. Il aurait pu dire aussi que ce dispositif était à l'origine de la boutique des services rue des Clercs dans une partie de laquelle il a installé, en la louant, sa permanence.
Appellerez-vous Paris ou l'Elysée si Marie-Jo Zimmermann arrivait derrière vous aux élections et qu'elle refuse de fusionner ? " ça se peut " répond Jean-Marie Rausch. " Vous pouvez me refaire ça pour mon blog " lui dit un des journalistes placés en face de lui. Et il s'exécute... Dictature de l'image et de l'instantané. L'occasion aussi de préciser qu'il " ferait téléphoner "
10 000 portes
Le contact direct, il n'y a que ça de vrai ! Dominique Gros est un adepte de la rencontre avec les Messins et il encourage ses équipiers, surtout les plus jeunes parfois moins aguerris à ce genre de démarchage au porte-à-porte, à ne surtout pas s'arrêter. " On a déjà fait 10 000 portes à Metz sur les 40 000 appartements ou maisons de la ville. Il faut continuer et expliquer. " Tant qu'il ne leur demande pas d'y aller aussi en vélo !
Pas d'heure pour les braves
C'est à 9 h 30 qu'Anne Stémart a invité les habitants du quartier à une réunion publique " qu'elle donnait " au café des Amis à Magny... En présence de Jean-Marie Rausch. Sûr qu'un mardi à cette heure-là tout le monde n'a pas dû pouvoir se libérer... N'empêche qu'il y avait du monde quand même pour découvrir celle qui a été intronisée à ce moment là numéro deux de la liste JMR. Cela valait bien la peine de se déplacer.
Griesbeck : quatre fois la fête
Ce n'est pas une ou deux idées de fêtes et d'animation que Nathalie Griesbeck a sorti de son chapeau (ou de son programme) mais quatre : un grand rendez-vous annuel inter-générationnel (type Saint Nicolas ou Mirabelle sans doute), une fête des arts vivants (sur les places et dans les rues), une opération estivale Metz Plage sur les bords du plan d'eau et enfin un grand festival annuel d'envergure comme les folles journées de Nantes.
19 h 00, Metz s'endort
Parodiant Dutronc et son Paris s'éveille , Nathalie Griesbeck regrette qu'à 19 h Metz s'endorme. La faute au " manque de transports, de vie étudiante, de politique culturelle "… Ne lui reste plus qu'à trouver un " monsieur Boum boum " pour animer tout ça et rendre hommage en même temps à Henri Salvador qui vient de nous quitter.
Berti le retour
Difficile, en entrant dans la salle archi pleine du " coup d'œil " à Metz les Bordes où Pierre Bertinotti tenait une conférence de presse l'autre jour, d'imaginer qu'on était " seulement " à un rendez-vous de lancement de cantonales. Arguments taillés au millimètre, projet global et particulier pour chacun des quartiers, document de campagne de haut vol...tout faisait penser à une étape supplémentaire d'un processus de conquête de la mairie qui s'était interrompu il y a quelques mois lors des primaires du PS. Aline Hombourger sa suppléante était à ses côtés.
Un double clin d'œil
En présentant lundi les différents aspects de son programme pour l'économie et le commerce messins, Jean-Marie Rausch a parlé de l'extension du marché couvert, des places, de la politique des quartiers mais aussi du FISAC qui serait poursuivi. Un dispositif qui permet de faire financer l'innovation commerciale en centre-ville par l'Etat et les collectivités à partir des produits d'une taxe sur les implantations périphériques. En guise de clin d'œil JMR a fait remarquer que ce dispositif a été créé alors qu'il était ministre du Commerce. Il aurait pu dire aussi que ce dispositif était à l'origine de la boutique des services rue des Clercs dans une partie de laquelle il a installé, en la louant, sa permanence.