têtes d’affiche pour un EPCC messin
| samedi 8 novembre 2008 09:30 par JPJ | Metz |
le président du festival d’Avignon et un ministre
!
Bernard Faivre d’Arcier, un des poids lourds du paysage culturel français des 30 dernières années devrait être le premier président de l’EPCC de Metz qui réunira notamment l’Arsenal et les Trinitaires. Il pourra compter sur la présence à ses côtés de Franck Feitler, directeur du Grand Théâtre de Luxembourg mais aussi, et c’est plutôt une surprise, de Catherine Tasca, l’ancienne ministre de la Culture et de la Communication, actuelle sénatrice.
Les deux premiers noms ont été annoncés au cours du conseil municipal de jeudi dernier. Celui de Bernard Faivre d’Arcier réputé pour la diversité de ses engagements et compétences, d’Avignon à l’UNESCO en passant par HEC et l’INA. Pour le troisième un mystère planait encore. « Cette personne est en voyage et nous attendons son retour pour officialiser sa présence » avait dit Dominique Gros. Autour du maire on laissait entendre que ce serait un gros calibre.
Même si rien n’est encore officiellement annoncé il est plus que probable que ce soit de Catherine Tasca dont il s’agit. Une femme qui a baigné tout au long de sa carrière dans les milieux de la Culture et de la Communication. De la politique aussi puisqu’elle a été ministre de la communication avec Michel Rocard, ministre de la culture et de la communication avec Lionel Jospin. Elle avait été nommée par François Mitterrand à la commission nationale de la communication et des libertés.
Le premier poste public de Catherine Tasca avait été celui de directrice de la maison de la culture de Grenoble de 1973 à 1977. Auparavant elle était entrée à la direction des arts et lettres sous André Malraux. Connue pour son engagement dans les sujets de société les plus divers mais aussi pour la netteté de ses prises de position ( que ce soit par rapport à Berlusconi ou à des présidents de l’audiovisuel) elle devrait apporter une certaine « fulgurance » à la nouvelle institution messine.
Un bon casting donc pour l’instant… condition nécessaire pour changer d’orbite. On verra si elle est suffisante mais ne boudons pas le plaisir de voir indirectement l’image de Metz s’accrocher à celle de personnalités au rayonnement établi. Ne resterait plus qu’a raccrocher Jean Jacques Aillagon au niveau de la représentation de la Région.
Bernard Faivre d’Arcier, un des poids lourds du paysage culturel français des 30 dernières années devrait être le premier président de l’EPCC de Metz qui réunira notamment l’Arsenal et les Trinitaires. Il pourra compter sur la présence à ses côtés de Franck Feitler, directeur du Grand Théâtre de Luxembourg mais aussi, et c’est plutôt une surprise, de Catherine Tasca, l’ancienne ministre de la Culture et de la Communication, actuelle sénatrice.
Les deux premiers noms ont été annoncés au cours du conseil municipal de jeudi dernier. Celui de Bernard Faivre d’Arcier réputé pour la diversité de ses engagements et compétences, d’Avignon à l’UNESCO en passant par HEC et l’INA. Pour le troisième un mystère planait encore. « Cette personne est en voyage et nous attendons son retour pour officialiser sa présence » avait dit Dominique Gros. Autour du maire on laissait entendre que ce serait un gros calibre.
Même si rien n’est encore officiellement annoncé il est plus que probable que ce soit de Catherine Tasca dont il s’agit. Une femme qui a baigné tout au long de sa carrière dans les milieux de la Culture et de la Communication. De la politique aussi puisqu’elle a été ministre de la communication avec Michel Rocard, ministre de la culture et de la communication avec Lionel Jospin. Elle avait été nommée par François Mitterrand à la commission nationale de la communication et des libertés.
Le premier poste public de Catherine Tasca avait été celui de directrice de la maison de la culture de Grenoble de 1973 à 1977. Auparavant elle était entrée à la direction des arts et lettres sous André Malraux. Connue pour son engagement dans les sujets de société les plus divers mais aussi pour la netteté de ses prises de position ( que ce soit par rapport à Berlusconi ou à des présidents de l’audiovisuel) elle devrait apporter une certaine « fulgurance » à la nouvelle institution messine.
Un bon casting donc pour l’instant… condition nécessaire pour changer d’orbite. On verra si elle est suffisante mais ne boudons pas le plaisir de voir indirectement l’image de Metz s’accrocher à celle de personnalités au rayonnement établi. Ne resterait plus qu’a raccrocher Jean Jacques Aillagon au niveau de la représentation de la Région.
