Emmanuel Lebeau

jeudi 6 mars 2008 15:00 par JPJ    Metz

2008, c'est ici et maintenant !

C'est bien en 2008 que la liste d'Emmanuel Lebeau entend franchir un cap de crédibilité et de représentation. Malgré l'âpreté du combat entre les quatre listes  " mammouth " les 2008 iront jusqu'à la dernière minute de la dernière nuit à la rencontre de leurs électeurs potentiels.

" Pour nous l'essentiel c'est de promouvoir le travail et l'emploi sur Metz. Celui-ci se trouve et se trouvera de plus en plus dans les PME. Décidons que 50% de la commande publique sera réservée à ces PME et non plus à des groupes qui empochent la marge et font ensuite travailler dans des conditions limites au niveau financier les entreprises locales en sous-traitance ". René Jacques Wetzel (corrigé, merci Lili c.f. commentaire), patron de PME à Metz, " le seul des candidats aux cantonales ayant créé un jour d'autres emplois que le sien ", n'en démord pas. Il est fermement convaincu aussi que les liens entre université et entreprise doivent être plus forts.
Second volet : celui du bilinguisme. L'initiative Breakfast en English lancée par la Chambre de commerce, destinée à favoriser les échanges en anglais ne rencontre qu'un timide succès : "  les langues doivent devenir une de nos caractéristiques. Tout comme  l'orientation vers les filières de la construction et du développement durable. "

Troisième aspect, défendu par Philippe Apelle cette fois : le cercle vertueux des initiatives et des aides apportées au bon moment. "  La collectivité doit être véritablement attentive au rythme des associations pour  être leur partenaire au moment le plus efficace de leur action. Les subventions qui arrivent en retard sont un des facteurs de renoncement et de découragement. "  Fidèle aux propos d'Emmanuel Lebeau qui veut faire de Pompidou " une locomotive qui n'a de sens que si on lui accroche des wagons ", Philippe Apelle veut promouvoir et créer toute une série de nouvelles fonctions de dynamisation du tourisme d'affaire. Pour trouver les ressources  " un peu moins de vice présidents à la CA2M et une taxe de séjour telle qu'elle exisqte à Woippy. A 50 centimes par nuit elle représenterait 300 à 400 000 euros annuels sur la CA2M. de quoi faire."